« J’en crois pas mes yeux », le succès de la saison 2, en attendant la 3…

Pour la seconde année consécutive, J’en crois pas mes yeux a atteint sa cible. D’une tonalité plus grave que la première saison, cette série désormais emblématique de courtes vidéos, produite en partenariat avec la Société Générale, met en scène le handicap dans le monde du travail et la subtilité des enjeux à l’œuvre (voir le billet Une décapante saison 2). Après diffusion, ces dix épisodes qui traitent avec humour et intelligence du handicap non visible, à travers des mises en situation tragi-comiques, ont reçu un accueil extraordinaire, tant en interne qu’en externe. Une appropriation qui témoigne du succès de cette forme originale de sensibilisation.
De fait, l’histoire de cette jeune cadre dynamique, atteinte d’un handicap non visible, et de son collègue a priori macho, éclaire avec acuité la nécessité d’accepter nos différences et d’échanger nos tabous. Au fil des épisodes, les maladresses se multiplient de part et d’autre, contribuant à retourner la situation, au-delà des apparences et des idées préconçues. Média vidéo, format court, qualité de la réalisation : autant d’atouts pour inviter à la réflexion et transmettre des messages clairs sans jamais donner de leçon.
Aussi, cette fois encore, sur le blog, Facebook et Internet, J’en crois pas mes yeux 2 a créé le buzz. La série a aussi été diffusée sur W9 et a même été sous-titrée en anglais ! J’espère que la saison 3 pour laquelle la Société Générale vient de s’engager à nouveau continuera de nous surprendre et de nous interpeler ! À suivre…
Matthieu Pénaud
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