… et tous vont regretter ta bonne humeur chaleureuse et communicative, ton rire et ton humour légendaires, ton ouverture d’esprit et ton envie d’apprendre des autres, ton enthousiasme permanent en dépit parfois des galères, à commencer par l’équipe très féminine de la Mission Handicap qui accueille Christel Marivin en qualité de Chargée de mission Achats auprès du secteur adapté et protégé … bienvenue à elle ! Après 41 ans de bons et loyaux services, dont 2 années à la Mission Handicap Société Générale, sa dernière affectation, Philippe GARDERES, Chargé de mission Achats auprès du secteur adapté et protégé, s’en va et tire sa révérence, tel un autre fils de Gascogne, légendaire mousquetaire, qui vint jadis conquérir Paris…
Belle retraite Philippe et bonne route !
L’œil rieur et la moustache toujours prête à livrer un bon mot, poète à ses heures, caricaturiste talentueux (voir ci-joint) et rimailleur plein d’esprit, Philippe va pouvoir s’adonner à sa passion pour Paris, qu’il partage via son site web « Paris le nez en l’air », lui ‘le piéton de Paris’, amoureux de Léon-Paul Fargue et d’Haussmann, passionné d’Histoire, qui connait la ‘belle’ comme sa poche et pourra vous la faire découvrir mieux que quiconque… Il parait qu’il organise des ballades alors prenez votre tour et suivez le guide ! Son affectation à la Mission Handicap, il l’avait voulu passionnément « parce qu’un travail passionnant et tourné vers les autres, cela s’appelle une mission, non ? »
Toujours avec passion
Histoire de clore une carrière riche qui le vit entrer « à la Gégène en 1974, une autre époque diront certains, je dirais un autre monde. Du marketing et de la publicité, en passant par les produits télématiques, les back-offices titres et les distributeurs automatiques de billets (DAB), ce sont plus de dix métiers différents que j’ai exercés au sein de ma banque. Toujours avec passion ». Et une audace toute Gasconne ! Et toute l’équipe avait la larme à l’œil, jeudi dernier, lorsque Philippe a signé son départ d’un magnifique poème conclut par ces mots : « Et s’il fallait finir par un dernier hommage, je le dédie à la Société Générale, 41 ans ensemble, c’est plus qu’un long mariage, grâce à elle mon intérêt fut capital ». Monsieur de la Fontaine aurait apprécié… Au revoir Philippe et à très vite…
« Le vrai parisien n’aime pas Paris, mais il ne peut vivre ailleurs. » Alphonse KARR